une lettre de mon forum reseau social qui m'a interpellée

Réflexion Chrétienne entres amis

Je suis dans la peine et la souffrance, je suis toujours là pour tout le monde.
Mais pour tout le monde je suis invisible.
Personne ne me voit et personne ne m'écoute à part DIEU. mon seul consolateur.
Pourtant ce que j'aimerais qu'une oreille matérielle soit là pour moi!
Je vois pleins de témoignages de personnes qui ont trouvé des chrétiens sur leur route et qui les ont aidé.
Moi je suis condannée à porter ma croix seule et à aider les autres à porter la leur.
J'ai DIEU mais lorsque que j'ai besoins d'affection, je n'ai que mes deux petites chiennes.
Si vous avez besoins d'aide, je suis là.
Je vous embrasse et que DIEU vous bénisse.
Moi je n'attend plus rien et ne demande plus rien.
Je n'ai plus besoins.
On s'habitue à son malheur.

De Jean Vivien à Alain Baril, ancilla, Carole, catia, charitéet davantage de 18
Envoyé Il y a 12 heures

« Portez les fardeaux les uns des autres. » Galates 6 : 2

Pour prolonger la réflexion : Jean 11 : 1- 45
D'une manière générale, nous préférons nous réjouir avec ceux qui sont dans la joie plutôt que d'accueillir ou visiter ceux qui sont dans la peine. Pourtant, les deux démarches sont indispensables. Il est vrai que c'est difficile d'écouter la souffrance d'une personne malade ou dans le deuil, et cela requiert beaucoup de compassion. Cette qualité, certains l'ont naturellement, mais si nous sentons notre cœur fermé et dur, nous pouvons demander à Dieu qu'il déverse son amour en nous. Nous pourrons alors écouter notre ami(e) dans la souffrance.

Cette attitude peut-être une grande source de réconfort pour celui qui souffre, car il se sent moins seul. C'est aussi en accueillant et en visitant ceux qui sont dans la peine que nous apprendrons à nos enfants le respect du prochain.